jeudi, avril 19, 2007

Le Bonheur dans le Crime - Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

Ce que j’ai trouvé intéressant était les perceptions changeantes d’Hauteclaire. Quand elle était décrite premièrement, elle est dévote et pleine de vie. Et, quand elle disparaissait, c’est comme elle était la lumière et la vie de la ville. V… est complètement métamorphosé sans elle. Mais, pendant que le docteur raconte l’histoire, la perception d’elle change. Elle n’est plus la demoiselle vivante, elle est une tueuse qui dupait le monde. C’est intéressant à quelle vitesse les perceptions changent, surtout quand elle était une bonne personne avant tout cela.

samedi, avril 14, 2007

Les Extraits de Michelet et d'Hugo

J’étais surprise par les attitudes présentées part Michelet a propos des classes populaires. Il me semblait qu’à cette époque ces gens étaient ignorés par les gens qui étaient plus riches. Mais, ici, Michele montre leur amour pour la France comme quelque chose que les gens plus riches doivent briguer. Je me demande comment cette idée était reçue à l’époque. Avec la romanticisme ces sentiments seraient plus acceptables je pense, mais est-ce que les autres ont vraiment écouté ses sentiments ?

L’extrait d’Hugo était très poignant, la juxtaposition de la femme et l’armée et aussi l’armée et la forêt était intéressante…mais les émotions de la femme quand elle explique la morte de son mari sont vraiment touchantes, pour moi et l’armée aussi. Les politiques n’importait plus, seulement que son mari est mort.

mardi, avril 10, 2007

Saint Julien l'hospitalier - Flaubert

Même si il devient un saint à la fin, j’ai de la difficulté de l’excuser pour avoir tué tellement d’animaux en des façons très cruelles. Il a coupé les jambes d’un oiseau pendant qu’il dormait…c’est triste et inutile.

Mais bon, c’est intéressant qu’il s’enlève de la société avec l’espoir de se réformer. La première fois, quand il essaie d’échapper tuant sa mère et son père, ne marchait pas, la seconde fois marchait et il devient un saint. Ces épisodes montrent que le destin est la chose la plus importante en déterminante le futur ; quoi qu’il arrive, on est toujours lié à son propre destin. Cette fatalité n’est pas capable d’être échappé, même par les personnes qui sont favorisées divinement.

mercredi, avril 04, 2007

Eugénie Grandet - Balzac (IV)

Les thèmes de l’amour et l’argent résonnent en ce texte. Balzac dessine une dichotomie entre les femmes et les hommes avec ces deux concepts. On voit l’obsession avec l’argent et le succès en Grandet et aussi Charles, qui malheureusement devenait une personnage qui développait dans une mauvaise direction. Mais à l’autre côté, Eugénie reste fidèle et amoureuse pendant les années, même quand son père lui montre l’avarice et quand il essaie de transformer Eugénie avec l’argent. Malgré les tentations, elle reste insensible à l’argent. Mais, Charles change, pendant ses voyages, il se perd et devient comme Grandet.

« Il n’eut plus de notions fixes sur le juste et l’injuste, en voyant taxer de crime dans un pays ce qui était vertu dans un autre. Au contact perpétuel des intérêts, son cœur se refroidit, se contracta, se dessécha. » (253)

Charles a oublié son amour pour Eugénie, plutôt, il choisit un mariage pour l’argent et le prestige (avant de savoir que Eugénie était une héritière d’une grande fortune) Il suit le même chemin que celle de Grandet, Grandet a choisi une femme pour sa propriété, pas pour l’amour. Je me demande comment on peut donner une type à Charles, je pense qu’il change pendant le roman, mais je ne sais pas.

vendredi, mars 30, 2007

Eugénie Grandet - Balzac (III)

Les généralisations sur la femme dans Eugénie sont uniques, la femme n’est pas montrée comme le sexe faible ni comme des manipulatrices. Ces portraits sont communs entre les autres romans que nous avons lus, et normalement les personnages femelle tombe entre une catégorie ou l’autre. Mais, ici, Balzac les montre un peu différemment, elles sont les guérisseurs, équivalentes aux anges.

« [Charles] ne jouait pas la douleur, il souffrait véritablement, et le voile étendu sur ses traits par la peine lui donnait cet air intéressant qui plaît tant aux femmes. Eugénie l’en aima bien davantage…La femme a cela de commun avec l’ange que les être souffrants lui appartiennent »

Ici, les femmes aident les gens qui ont besoin de tendresse. Et, je pense, cette qualité n’est pas montrée comme quelque faiblesse, mais une force. Balzac donne un aspect positif sur les traits des femmes encore quand il explique que les femmes ont plus de raisons d’avoir de la douleur.

« Les femmes ont plus de causes de douleur que n’en a l’homme…la femme demeure, elle reste face à face avec le chagrin dont rien ne la distrait, elle descend jusqu’au font de l’abîme qu’il a ouvert, le mesure et souvent le comble des ses vœux de ses larmes. »

Ces qualités peuvent être considérées comme une faiblesse, et elles sont comme ça aux yeux des autres auteurs. Mais, Balzac attribue les douleurs des femmes à leur situation, pas à leur faiblesse « naturelle ».

mardi, mars 27, 2007

Eugénie Grandet - Balzac (II)

Ce qui me frappe c’est le thème du réveil qui vient avec l’amour. Ce thème est évident dans tous les romans que nous avons lus ce semestre (sauf Jacques), il y a la Princesse de Clèves qui se trouve après tombant amoureuse de M. Nemours, elle a une personnalité qui n’était pas là avant de cet événement. Et encore, pour Cécile, elle a une expérience semblable à celle de la Princesse, quand elle tombe amoureuse, tout à coup elle commence à trouver sa place dans la société. (Ce sont des généralisations évidemment, pour les deux filles n’ont pas eu de bonnes expériences avec l’amour après qu’elles soient tombées)

Une chose similaire développe dans Eugénie. Après Eugénie tombe amoureuse avec Charles, elle est décrit finalement par l’auteur. Avant de ça, il n’y avait pas beaucoup que le lecteur savait au propos d’elle. Tout à coup il y a ce réveil, Eugénie (et le lecteur) voit qui elle est. Elle commence à tenir tête à son père, elle veut qu’il aide Charles, et elle calcule combien d’argent il possède. Maintenant, elle n’est plus qu’un nom.

jeudi, mars 22, 2007

Eugénie Grandet - Balzac (I)

Cette fois-ci est la première fois que j’avais lu un roman de Balzac, alors, mon premier blog peut être un peu naïf, mais, tant pis je suppose. Alors, ce qui me frappe premièrement sont les détails minutieux. J’étais inondé par tous les détails pour chaque personnage, leurs histoires, leurs caractéristiques physiques et leurs personnalités. Mais tout cela m’emmène à entrer dans l’histoire et je me trouve absorbé par le texte, c’est comme si je peut voir tous les personnages, la petite ville – tout cela. Mais, aussi –Eugénie n’est pas décrit à la même manière de M Grandet ou de la grande Nanon, je me demandais pourquoi.

Les personnages sont très uniques. Malgré sa fortune immense, Grandet refuse de faire des choses très simples, comme payer quelqu’un de réparer sa marche, et aussi il donne la somme la plus petite que possible à sa femme et la grande Nanon. Son avarice est étonnante.